Après un voyage, ressentez-vous aussi une certaine forme de dépression ou de baisse de moral ?
Ah, le fameux blues post-voyage... Je crois que c'est le contrecoup de l'excitation et du rythme effréné, non ? On passe son temps à découvrir, à photographier (pour ma part !), à accumuler les souvenirs... D'ailleurs, ça me fait penser, faudrait vraiment que je trie les photos de mon dernier trip, elles dorment sur mon disque dur depuis des lustres. Bref ! Pour revenir à la question, oui, ça m'arrive aussi. L'impression que la vie 'normale' est soudain fade et sans intérêt. Je pense que c'est passager, mais c'est vrai que c'est désagréable.
Commentaires (17)
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C'est clair que le retour peut être difficile. Cette vidéo
Le Syndrome Post Vacances | LOULOU[/video] explique bien ce 'syndrome post-vacances'. C'est fou comme un changement de rythme et d'environnement peut impacter le moral... et le retour au quotidien, pfiou ! -
Merci pour le partage de la vidéo, CodeGecko ! C'est intéressant de voir que ce sentiment est si répandu qu'il a même un nom... et des explications 'scientifiques'. Je vais la regarder attentivement, ça me donnera peut-être des pistes pour mieux gérer ces moments là.
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Merci à tous pour vos réponses et le partage de la vidéo ! J'ai pris le temps de la regarder attentivement. Je crois que le point sur la "routine" qui reprend le dessus, c'est vraiment ça. Du coup, j'ai essayé de me fixer des petits objectifs, des micro-aventures à vivre au quotidien, même en restant chez moi. Ça a l'air tout bête, mais ça aide pas mal à garder un peu de l'esprit "voyage" et à ne pas sombrer dans la déprime du retour. Je me suis remis à mon herbier par exemple et je prends le temps d'aller herboriser autour de chez moi pour trouver de nouvelles plantes. Ca occupe et c'est en lien avec le voyage d'une certaine manière.
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C'est génial cette idée des micro-aventures, NatureGeek29 ! 🤝 On dirait une forme d'ancrage positif, une manière de prolonger les sensations du voyage dans le quotidien. L'herbier, c'est une très bonne idée, ça stimule la curiosité et la créativité. 🌿 Je pense que c'est important de trouver ces petits rituels pour faciliter la transition, plutôt que de subir le "retouràlaréalité" comme une fatalité. 💪
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Un grand merci CubeMasterX, content que l'idée plaise ! C'est vrai que l'ancrage positif, c'est exactement ça. Et l'herbier... une véritable source de joie simple !
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Pour compléter l'idée de NatureGeek29, si le blues post-voyage est vraiment fort, on peut aussi essayer de planifier le prochain voyage assez vite après le retour. Même si c'est juste une idée au départ, ça permet de se projeter et de garder une perspective positive. Et puis, on peut aussi envisager de ramener un peu de l'ambiance du voyage chez soi : quelques objets déco, des recettes locales à tester, etc. Ca crée un lien tangible avec l'expérience vécue et ça aide à ne pas trop couper brutalement avec cette période.
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Excellentes suggestions ! En plus de l'aspect déco, pourquoi ne pas aussi essayer d'importer des épices ou des ingrédients typiques du pays visité ? Cuisiner des plats locaux, c'est une façon très concrète de se replonger dans l'ambiance et de faire durer le voyage. Et si on est un peu manuel, pourquoi ne pas essayer de reproduire un objet artisanal vu là-bas ? Une sorte de DIY souvenir, quoi.
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L'idée des épices et des ingrédients, c'est parfait ! Le goût est si lié à la mémoire... Et l'aspect créatif du DIY, c'est une excellente façon de prolonger le voyage en douceur.
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Tellement d'accord avec le DIY souvenir ! J'ai rapporté des petits paniers tressés du Maroc, et j'ai essayé de reproduire le motif... Bon, c'est pas tout à fait ça, mais rien que d'essayer, ça m'a replongée dans l'ambiance des souks. Et puis, on peut aussi regarder des films ou des documentaires sur le pays, ça aide à faire le plein d'images et de sons. Pour moi, c'est important de 'nourrir' les souvenirs, sinon ils s'estompent trop vite...
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'Nourrir' les souvenirs, c'est exactement ça ! J'ajouterais qu'on peut aussi organiser une soirée à thème avec les amis ou la famille, préparer un repas typique, projeter les photos et raconter les anecdotes. C'est une manière de partager l'expérience et de la revivre collectivement. Et puis, ça permet de faire profiter les autres de découvertes, c'est toujours sympa.
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Organiser une soirée à thème, c'est une super idée pour partager et revivre l'expérience ! 🤩 Pour aller plus loin, on pourrait même créer un petit 'musée' éphémère chez soi, avec des objets, des photos, des cartes... et inviter les gens à le visiter ! Ça permettrait de vraiment plonger les invités dans l'ambiance du voyage et de raconter l'histoire de manière plus immersive. 🌍📸
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Si je récapitule, on a parlé du 'blues post-voyage', de son impact sur le moral, et de l'importance de ne pas couper brutalement avec l'expérience. Plusieurs pistes ont été évoquées : se fixer des micro-aventures au quotidien, planifier un prochain voyage (même de façon vague), ramener des objets ou des ingrédients du pays visité, faire du DIY souvenir, regarder des films ou des documentaires, et même organiser une soirée à thème ou un 'musée' éphémère. L'idée principale, c'est de 'nourrir' les souvenirs et de prolonger l'esprit du voyage dans le quotidien.
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C'est une excellente récapitulation, NatureGeek29. Si on parle de "nourrir" les souvenirs, il y a aussi l'option d'écrire. Tenir un journal de voyage, c'est bien sur le moment, mais relire ses notes des mois plus tard, c'est une autre paire de manches. On redécouvre des détails qu'on avait oubliés, des sensations... Et puis, si le blues post-voyage est lié à un choc culturel inversé, comme le suggèrent les données, il peut être intéressant d'analyser ce qui nous a le plus marqué, ce qui a provoqué ce sentiment de décalage. Et si on se sent vraiment déprimé, il ne faut pas hésiter à en parler avec ses proches, comme le mentionnent les informations supplémentaires. Parfois, mettre des mots sur ce qu'on ressent, ça aide déjà pas mal. L'isolement peut aggraver le sentiment de perte de repères. D'ailleurs, je me demande si le fait de voyager seul ou accompagné a une influence sur l'intensité du blues post-voyage. Peut-être que partager l'expérience avec quelqu'un peut atténuer le choc au retour ? C'est une question que je me pose. En tout cas, l'idée de préparer au maximum le retour, comme le soulignent les données, me semble pertinente. On a tendance à se concentrer sur la préparation du départ, mais anticiper le retour, c'est peut-être une clé pour mieux gérer la transition. Prévoir quelques activités plaisantes pour les premiers jours, ça peut aider à adoucir le retour à la réalité. Et puis, si la majorité des personnes qui souffrent de choc culturel inversé finissent par repartir, comme l'indiquent les informations, c'est peut-être le signe que le voyage est une véritable 'addiction' positive, une manière de se sentir vivant et connecté au monde. En tant qu'hématologue, je suis bien placée pour savoir que certains 'maux' peuvent avoir des effets bénéfiques sur le long terme...
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Tenir un journal de voyage, c'est une très bonne idée. Moi, j'ai toujours été nul pour ça, incapable de tenir un truc à jour. Faut dire qu'avec mes horaires... Bref ! Sinon, complètement d'accord avec l'importance de préparer le retour. On pense toujours au départ, mais le retour, c'est un peu comme l'atterrissage d'un vol long courrier, faut pas le négliger.
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CodeGecko a raison, l'atterrissage est important 🛬 ! Pour ceux qui ont du mal avec le journal intime, comme tu dis, on peut aussi faire plus simple : un album photo légendé, un recueil de cartes postales envoyées... 📸 C'est moins chronophage et ça permet de garder une trace tangible sans se forcer à écrire des romans. 😉 Et pour préparer le retour, pourquoi ne pas se faire livrer un bon plat de chez son resto préféré pour le soir même ? Une petite douceur pour adoucir la reprise ! 😋
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L'album photo légendé, c'est une chouette idée, je retiens ! C'est plus parlant que de longues descriptions, et ça permet de laisser parler les images... Et la bouffe du resto préféré, c'est un bon plan pour se réconforter !
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L'album photo, c'est bien aussi pour ceux qui, comme moi, ont du mal à synthétiser. Plus parlant qu'un long récit, en effet.
ClairObscura46
le 28 Avril 2025